Epreuves individuelles du CNRD au Lycée Saint-François d’Assise

Ce vendredi 31 mars, dans le cadre de leur parcours citoyen, les élèves de première inscrits au Concours National de la Résistance et Déportation ont passé cette épreuve écrite au lycée. Le thème de cette année portait sur « l’Ecole et la Résistance : des jours sombres aux lendemains de la Libération (1940-1945) ».

Après une préparation collective de presque 4 mois ponctuée de visite à l’EHPAD ainsi qu’aux archives départementales, de la découverte d’une exposition, du visionnage d’un film et de lectures d’ouvrages sur la question… les élèves viennent de passer les épreuves individuelles.

La préparation de ce concours est avant tout une aventure collective qui aura permis de fabuleuses rencontres intergénérationnelles et d’approfondir un thème d’histoire… le tout permettant de fédérer un groupe d’élèves volontaires et d’effectuer un travail de mémoire.

Témoignage d’élèves ayant passé ce concours :

Arthur : «  j’ai bien aimé le projet car cela m’a permis d’apprendre de nouvelles connaissances sur cette période, surtout que la Résistance dans les écoles durant la Seconde Guerre mondiale est peu abordée dans les programmes scolaires d’histoire ».

Lisa : « j’ai aimé participé à ce concours. C’est un bon entraînement pour le Bac ! De plus cela permet de se rappeler d’une importante période historique. C’était très intéressant.»

Pierre : « j’ai énormément apprécié la visite des Archives départementales de Loire-Atlantique car l’authenticité des documents, ces témoins de papier du passé, rendent l’histoire encore plus intéressante ».

Lilian : « je pense qu’il est nécessaire d’effectuer un véritable travail de mémoire. Et je suis heureux d’y avoir participé ».

Les professeurs ayant proposé ce projet complimentent les élèves qui y ont participé . Ils ont également apprécié l’accompagnement effectué avec les élèves et ont constaté qu’un groupe s’est fédéré autour de ce projet !

« Aller jusqu’au bout des choses, ce n’est pas seulement résister, mais aussi se laisser aller », Albert CAMUS.